lundi 8 février 2016

Bai Ling Yin - Oolong - Thé de Chine (Paris)

Bonjour à tous,

Continuons avec des thés acheté lors de mon périple Parisien et qui n'avait pas encore fait l'objet d'une revue complète ici.

Je m'attaque aujourd'hui, à l'un des thés de mon énorme découverte parisienne, un thé de chez Thé de Chine, dont je vous recommande chaudement d'aller y faire un détour si vous allez sur Paris. Il s'agit aujourd'hui d'un Oolong fortement oxydée; sans doute l'un des rares que je possède qui ne proviennent pas de Taïwan.

Il s'agit d'un thé nommé Bai Ling Yin. 


 J'ai infusé ce thé en set à dégustation 3 fois à 90° pendant 1min, 45sec et 40 sec, puis à 85° 45 sec, puis sur les dernières infusions 80° 1 min à 1min 30.

Mon avis personnel:


A la première infusion, c'est un Oolong très doux, très camphrée que je retrouve dans ma tasse et qui me donne très envie de continuer à le boire. On débute avec des notes boisées cirée puis miellé avant de revenir vers des notes plus camphrée qui dure jusqu'après en longueur en bouche sans pour autant être râpeuse ou même âpre. On a l'impression d'une certaines amertume en longueur du fait de ces notes mais je commence à savoir que c'est assez propre à ces oolongs fortement oxydés.

A la seconde infusion, ce sont les notes miellées et cirées qui sont au coeur de la dégustation relargeant les notes boisées en longueur avec les notes camphrées qui sont relativement atténuée par rapport à précédemment. On trouve également dans ce thé de légères notes qui ressemblerait à du tabac à mâcher, au sein justement de cette fameuse amertume précédemment citée.

La troisième infusion de ce thé laisse quasi exclusivement la part belle à ces notes boisées et camphrée, le miel étant présent en tout début de dégustation (pointe de langue) puis disparaît très vite. Les notes de tabac reviennent légèrement en longueur mais seulement en fin de longueur en bouche.

La quatrième et cinquième infusion sont assez proche gustative ment notant un heureux retour vers les notes boisées et miéllées avec des notes de miel de sapin à la fois douces et légèrement râpeuses , le côté camphrée est toujours présent mais en légère note de fond, laissant toute la place aux côté ciré miéllé. Ce sont, avec la seconde infusion, mes infusions préférées.

Les trois dernières infusions restent sur des notes de bois ciré, avec un léger retour des notes camphrées sur la septième infusion, et signe la fin de dégustation au niveau de la huitième infusion qui a perdu de beaucoup au niveau des notes de dégustation.


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